38. La présentation de Percy : la romance dans les jeux-vidéos (partie 1)

janvier 28, 2022

Temps de lecture : ~12min.

Pour bien commencer l'année, je vous propose un article rédigé par notre cher guest-writer. N'écoutant que son masochisme courage, Percy a joué et rejoué à certains jeux. Préparez-vous une petite boisson, enroulez-vous dans un plaid chaud, c'est partie pour le début de l'article sur la romance dans les jeux vidéos !

TW : mention drogue, alcool, sexe, ~abus, mental breakdown.


    L'amour est enfant de bohème qui n'a jamais connu de roi. Qui que l'on soit, l'amour (qu'il soit amical ou romantique) est primordial pour les grands singes sociaux que nous sommes. Mais aujourd'hui, j'ai décidé de parler de romances, et plus particulièrement dans le jeu-vidéo. Certes j'ai un passif particulier avec la romance dans la vraie vie : lorsque j'ai annoncé le sujet de cet article à des amies, l'une d'elles, après avoir rigolé 3 minutes, 5 secondes et 4 heures, m'a demandé pourquoi je faisais cet article en tant que "personne non concernée" et la propriétaire de ce blog a déjà dit dans le passé que je "ne comprenais pas l'amour". Les deux sont des citations directes je précise.

    Mais alors pourquoi ai-je pris la décision de ce sujet ? Et bien déjà car le temps que l'article soit édité, il sera publié autour de la St Valentin, mais principalement car, c'est justement dans cette position de complète neutralité non corrompue par l'expérience que je me permets d'explorer une certaine vision de la romance. Et pour ceux qui suivent ce blog depuis longtemps, et sous un autre nom, et qui ont pu lire un précédent de mes articles sur mes déboires avec les sites de rencontres, je tiens à vous assurer qu'il s'agit ici d'un partage de mon génie et pas d'un breakdown.

    Néanmoins avant de me lancer, j'aimerais un peu délimiter mon sujet : déjà je compte uniquement parler de jeux avec des mécaniques de romance. Par exemple, on peut trouver de la romance dans les jeux Mario mais il n'est pas vraiment laissé aux joueurs le choix de courtiser ou non la Princesse Peach, c'est juste un ressort du scénario. Ensuite je ne compte pas parler de jeux de romance (car je n'y joue pas) ni de jeux pornographiques (pour la même raison). Avec tout ça dit, je suis Percival Artemis Manning et laissons place à l'amour.
 

1. À l'Ouest, l'archétype Bioware

Possibles légers divulgâchis pour :

Affiches de jeux : Mass Effect 3, Dragon Age Inquisition et Fall Out 4

    J’ai décidé pour cet article de procéder de manière géographique : les mécaniques de romances se trouvent principalement dans les RPG et leurs designs sont très différents entre l’occident et le Japon. Et pour commencer avec les jeux de rôles occidentaux, on est obligé de parler de Bioware. Avec les sagas Mass Effect et Dragon Age, on a un archétype de mécaniques de romances qui est pratiqué par beaucoup de jeux occidentaux et donc, en me concentrant sur eux, cela me permet de faire des conclusions qui s’appliquent à la plupart des jeux. Si, comme je le dis Bioware est l’ur-example ( : exemple le plus ancien d’un trope défini, ndlr.), alors vous pouvez peut-être vous dire que c’est un bon modèle pour représenter la romance dans le jeu-vidéo… Nous verrons ça en temps et en heure.

    Avant de commencer, j’avais juste envie de donner les grandes lignes de comment les romances fonctionnent dans ces jeux. Si un personnage est une romance possible et que vous faites des choix qu’il apprécie, vous aurez au bout d’un moment la possibilité de rendre la relation romantique ; souvent après une quête. Avec les explications terminées commençons par :

Uno) La Ninjamance

    Un des premiers aspects à discuter est ce que des gens plus drôles que moi ont appelé la Ninjamance. Dans plusieurs jeux, il est extrêmement facile de rentrer accidentellement dans une romance avec quelqu’un. C’est particulièrement visible dans le premier Dragon Age et le premier Mass Effect.

    Dans le premier Dragon Age, on a le personnage de Leliana, une barde qui a un accent français et donc est, d’après la loi des œuvres de fictions créées en dehors de l’hexagone, bisexuelle. L’arc scénaristique de ce personnage est la tentative de laisser derrière elle les dégâts émotionnels causés par la relation avec son ex-compagnonne. Dragon Age étant une œuvre de fiction, il y a bien entendu une confrontation avec la dite-ex, et après la confrontation avec celle-ci vous avez l’option de parler avec Leliana pour savoir comment elle vit tout ça. Si vous décidez de consoler Leliana alors qu’elle vous aime bien, bravo vous avez initié la romance avec ce personnage et absolument rien ne peut vous protéger de ceci, ni votre genre ni le fait que vous soyez déjà dans une relation à ce moment de jeu. La morale je suppose est que si vous avez un ou une ami·e qui s’est fait larguer, laissez-le·a gérez ça tout·e seul·e.

    Un autre exemple particulièrement frustrant vient du premier Mass Effect. Laissez-moi vous expliquez mon expérience pour mieux comprendre cette frustration : pour cet article j’ai refait tous les Mass Effect d’une traite deux fois, une fois en jouant un personnage masculin et une fois en jouant un personnage féminin. Dans les deux parties, j’avais déjà décidé dès le début quels personnages j’allais romancer et ces derniers n’étant disponibles qu’à partir du second jeu, j’ai décidé de ne séduire personne dans Mass Effect 1. Pour les curieux·ses, j’ai décidé de séduire Tali dans ma partie homme (je crois que le fait d’avoir choisi quelqu’un dans une tenue hermétique qu’elle ne peut jamais retirer en dit beaucoup sur moi) et Garus dans ma partie femme (par pur intérêt scientifique, je n’ai pas envie de pécho l’homme-oiseau). Malgré ça j’ai accidentellement commencé la romance hétérosexuelle dans le premier Mass Effect dans mes deux parties.

Pour clarifier,  le jeu utilise une roue de dialogue : sur la droite les options qui font avancer la conversation avec au Nord-Est l’option sympa, à l’Est l’option neutre et au Sud-Est l’option connard. Si en parlant à Ashley, si vous jouez un homme, ou à Kaidan, si vous jouez une femme, vous prenez les options sympa ou même neutre vous finirez dans une relation avec ces personnages. Kaidan est d’ailleurs, à mon avis, un excellent moyen de vivre via un jeu à quel point les hommes en général peuvent mal lire les signaux : lorsque j’ai refusé ses avances, il s’est plaint que j’avais envoyé des « signaux contradictoires ». Pour donner le contexte, nos deux conversations avant cela était pour lui demander comment il vivait la mort d’un camarade tombé au combat et comment il allait avec ses migraines.

    Le problème de la Ninjamance est qu’elle envoie le message que montrer de la sympathie envers quelqu’un (principalement si ce quelqu’un est du genre opposé) est uniquement dans le but de le séduire et de profiter du coït avec cette personne. Alors que c’est bien évidemment faux et qu’il est extrêmement dangereux de penser comme ça. Je pense que beaucoup de serveur·se·s ou toute personne qui a fait un emploi où elle a été payée pour être sympathique avec des clients à une anecdote ou deux avec un client qui a compris un signe de professionnalismes comme du flirt.

Due) L’avalanche de cadeaux

    Ce que j’appelle l’avalanche de cadeaux est lorsque le meilleur moyen mécaniquement de rentrer dans une romance est de bombarder la personne de cadeaux jusqu’au moment où celle-ci tombera sous le charme de l’ampleur de votre porte-monnaie.

    Du côté de Bioware, cette mécanique n’est présente que dans le premier Dragon Age mais je vais en discuter tout de même car on la voit dans énormément de jeux. Alors là encore, je vais continuer ma guerre incessante contre les poignées en enfonçant une porte ouverte, mais toute relation romantique basée sur l’échange de biens matériels est par nature malsaine. Pour reparler de Leliana, il est possible de profaner un des artefacts les plus importants de sa foi, mais puisque vous lui avez offert trois gâteaux, deux fleurs et des pompes, elle sera bien sûr tout à fait contente de vous inviter dans sa tente pour une session de coït. Je déteste cette mécanique pour plusieurs raisons : la première est que ça enlève toute engagement que vous pourriez avoir pour les personnages puisque presque aucune de leurs croyances ne sont plus importantes que des cadeaux, et la seconde est que ça donne un coté prostitution ou au minimum rencontre rémunérée aux romances du jeu. Je n’ai rien personnellement contre le travail sexuel mais je pense que nous sommes d’accord qu’il y a une énorme différence entre une relation romantique et une relation commerciale.

Tre) L’éternel problème du coït

    Vous vous demandez peut-être à ce point de l’article pourquoi j’utilise exclusivement le terme de coït. Et bien à la base, je comptais utiliser le terme « acte procréatif » mais Maxxie m’a dit que personne, espérant un jour pratiquer « l’acte procréatif », utilisait ce terme. Lorsque je n’ai pas vu le problème avec ça, elle m’a demandé d’utiliser un autre mot.

    Néanmoins, un défaut qu’ont beaucoup de jeux à la Bioware est leur approche générale de la romance. Dans ces jeux, les romances prennent souvent la forme de paliers se concluant par le coït. La romance est donc conçue comme toutes les missions : un ensemble d’obstacles avec une récompense à la fin. Ici, parler et essayer de comprendre la personne sont les obstacles et le coït, la récompense. De plus, cette récompense doit souvent être montrée : je me souviens d’une interview au moment de Mass Effect Andromeda, où les éditeurs avaient annoncé que certaines scènes seraient dignes d’un porno softcore… Je ne comprends pas l’intérêt et si quelqu’un le comprend, merci de me l’expliquer dans les commentaires.

    Il y a aussi un autre problème avec le fait que, dans ces jeux, la romance et le coït sont intrinsèquement liés. Il y a dans ces jeux, principalement dans les Dragon Age, des relations qui sont en premier abord exclusivement sexuelles. Alors je n’ai rien contre ça, ce n’est pas ça mon problème : ici, les relations sont purement sexuelles dans un premier temps, avant de devenir romantiques plus tard. Pour clarifier mon propos, je ne dis pas que ça n’arrive jamais dans la vraie vie, mais vu que ces relations sont placées sur le même niveau que les autres (et qu’elles ont la même conclusion) cela envoie le message que toute relation sexuelle sera forcément romantique au bout d’un moment.

    De plus, je pense que rentrer dans une relation purement sexuelle alors qu’on espère une relation plus sentimentale n’est pas vraiment sain. Je me rends compte qu’un jeu est juste du code et donc que programmer les complexités de la frontière entre le sexuel et le relationnel peut paraître trop demandé ; surtout quand cette frontière est différente selon l’individu. Néanmoins, la constante absence de différences dans ces jeux entre une relation sexuelle et romantique, couplée par la structure vidéoludique de celles-ci, me perturbe.

Quattro) Trop peu d’options LGBTQ+

    Pour la défense de Bioware, la plupart de leurs jeux incluent au moins une romance gay ou bi.  Le problème, c’est que c’est souvent une seule option et les options ne couvrent pas forcément toutes les sexualités. Par exemple il faut attendre Mass Effect 3 pour pouvoir jouer un homme gay. En comparaison le personnage féminin peut être gay dès le premier jeu. Je ne veux pas prêter des attentions aux créateurs du jeu mais ça participe un peu à l’image dans l’imaginaire collectif que les relations lesbiennes sont torrides alors que les relations gays, entre hommes, sont écœurantes.

De plus il y a un problème inhérent à avoir une seule relation homosexuelle : l’absence de choix. Par exemple si vous voulez être un homme gay dans Mass Effect Andromeda (avant un patch qui rend bi un personnage) vous aviez le choix entre l’escroc qui vous manipule constamment du début à la fin ou le type qui vous annonce que, surprise, il a fait un môme dans votre dos sans vous consulter. Il y a aussi des romances problématiques ou inintéressantes pour des personnages hétérosexuels mais la présence d’options, plus nombreuses, contourne le problème.

    Aussi, un truc qui peut paraître anecdotique mais que je me sens obliger de mentionner, car l’alcool et autres substances ont annihilé tous mes filtres : dans les jeux, les personnages honorables et loyaux sont toujours hétéros alors que les personnages LGBTQ+ sont plus des rebelles. Un excellent exemple à ce que je suis en train de décrire se trouve dans la saga Dragon Age. Dans Dragon Age Inquisition, tous les personnages gays ou bis sont des criminels, des espions ou des rebelles là où les trois chevaliers, loyaux et honorables, Blackwall, Cullen et Cassandra sont hétérosexuels. Ce n’est pas particulièrement quelque chose de nouveau dans la saga : dans le premier jeu Dragon Age Origins, les deux personnages bisexuels (et accessoirement les seules options gays) sont de la classe Voleur (certes les deux ont volés mon cœur, mais c’est pas la question) et dans Dragon Age 2, là où presque toutes les romances sont bisexuelles, les deux seuls membres du groupe qui sont loyaux et honorables sont respectivement un personnage qui ne peut être romancé et l’unique romance strictement hétérosexuel du jeu.

    De plus, dans le jeu qu’ils ont fait juste après Mass Effect Andromeda, les personnages bis sont le rebelle Jaal, le criminel manipulateur Reyes et la contrebandière Vetra (qui est la romance que j’ai poursuivie. Encore une fois intérêt scientifique, je ne suis pas un xénophile qui a un truc pour les hommes-oiseaux) comme s’il y avait quelque chose de sournois à la bisexualité. Je comprends qu’on peut trouver sa queerness comme une source d’aliénation, surtout si on grandit dans des milieux qui ne comprennent, ou ne veulent pas comprendre, ce qu’on est et ressent. Néanmoins je trouve aussi particulier d’envoyer le message que quelqu’un de queer est forcément quelqu’un de mal adapté dans la société qu’il habite, surtout dans une société fictive qui n’a pas les mêmes défauts que la nôtre.

    Sur Dragon Age 2, je voulais revenir sur ce que j’ai dit, comme quoi la quasi-totalité des romances étaient bisexuelles… ce qui n’est pas tout à fait vrai. En réalité, les personnages ont une sexualité centrée autour du protagoniste, quel que soit son genre. Après ça, c’est très personnel, mais je n’en suis pas particulièrement fan. En fait, mon problème est que cela permet d’écrire les personnages comme hétérosexuel par défaut, sauf si le joueur décide d’activement poursuivre la romance. J’admets que ça a ses avantages et inconvénients mais pour moi, c’est peu comme l’équivalent du baiser lesbiens à la fin de Star Wars 9 : quelque chose qu’on met pour la « représentation » mais qu’on peut facilement couper.

    Sur un sujet similaire, l’extrême majorité des jeux présentent une vision exclusivement monogame. Alors je ne suis pas personnellement intéressé par les relations polyamories, mais je peux comprendre qu’une personne qui l’est apprécierait se voir offrir cette option. Les deux seuls jeux auquel j’ai joué pour cet article qui permet la polygamie (sans que ce soit présenté comme de l’infidélité) sont Pathfinder Kingmaker et Fallout 4. Et encore dans le cas Fallout 4, c’est dur de le citer comme exemple puisqu’en réalité c’est juste le fait que le jeu ne prend pas en compte si le·a joueur·se est déjà ou non dans une relation au moment où iel en commence une.

    D’ailleurs, avant de parler des jeux japonais, j’aimerai m’attarder sur Fallout 4. Ce n’est pas tant des conclusions mais plus des interrogations sur comment la romance fonctionne dans le jeux. Alors, quand vous voyagez avec un compagnon que vous pouvez romancer, si vous faites des actions qu’il aime, il vous apprécie davantage et au bout d’un moment, il vous adore. Par exemple : Piper, la journaliste qui veut aider les gens et est toujours en quête de la vérité, finira par vous adorer après avoir crocheté environ 70 serrures. Lorsque ça arrive, le personnage s’ouvre à vous et parle de ses insécurités et problèmes personnels. Et donc à ce moment où quelqu’un est émotionnellement vulnérable avec vous… Vous avez l’option « Flirt » pour initier la romance.

   Alors vu que je suis sentimentalement plus proche d’un androïde qui essaie de prétendre d’être humain, je me sens obliger de demander : Est-ce réellement comme ça que ça marche ? La clef d’une relation serait donc de trouver une personne envers qui on est intéressée, attendre qu’elle soit émotionnellement vulnérable puis profiter de cette vulnérabilité pour s’immiscer dans sa vie ? Et je pose cette question mais je crois que je ne veux pas la réponse : si la réponse à cette question est oui, alors cela recontextualiserait énormément de choses sur comment je vois le monde et si la réponse est non alors POURQUOI JE ME SUIS IMPOSÉ DE JOUER À AUTANT DE JEUX POUR AU FINAL M’ÊTRE JUSTE INFLIGÉ UNE VISION INTÉGRALEMENT DÉFORMÉE ? Et en parlant de vision déformée, elle est peut-être intégralement originaire de moi, mes expériences passées colorant tout ce que j’expérimente. Mais si tel est le cas, cela voudrait dire que toutes mes analyses et conclusions sont fausses rendant cet article complètement vain. Et si l’article ne sert à rien alors encore une fois, pourquoi je me suis imposé autant de jeux. Ça ne peut pas être car j’expérimente un tel niveau de solitude, couplé d’un profond sentiment d’inadéquation, que je me suis tourné vers les jeux comme substituts. Ça ne peut pas être ça car ce serait la définition clinique d’un breakdown et la propriétaire de ce blog est mon amie, jamais elle ne me laisserait avoir un breakdown pour son amusement. Je rigole : nous ne sommes pas amis, elle m’a trouvé dans une benne à l’arrière d’un Sephora. Oui toutes les biographies sont canons et il y aura un contrôle de connaissance à la lecture du testament chez le notaire au moment de mon trépas pour savoir qui aura ma collection de dents humaines. Tout ça pour dire que je suis en plein contrôle de mes émotions et pour le prouver, je vais résumer intégralement tous les jeux dont je viens de parler avec une interlude en ballet pour Mass Effect 3. Ensuite nous engagerons un quatuor barbershop pour Fallout 4 et…

Percival Artemis Manning


   Maxxie a été dans l’obligation d’interrompre ce programme pour éviter que celui-ci se transforme en un Opéra en 12 actes. Malgré le fait que Percy était très insistant avec sa vision créative, celle-ci fut calmée à l’aide d’un fusil tranquillisant. Cet article reprendra donc prochainement suite à une renégociation violente et sans pitié de contrat. 

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4 commentaires

  1. Je n'y connais rien du tout et pourtant c'est passionnant et intéressant à lire ! j'avoue que je n'aurais jamais soupçonné tout ça ^^

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    1. Content de savoir que l'article t'a plu. Après c'était un peu le but de sortir un aspect "anecdotique" des jeux pour essayer d'en tirer quelque chose d'intéressant. J'espère que tu liras et apprécieras aussi la partie 2 qui sortira prochainement (teasing? non du tout)...

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  2. Eh bien, un sujet formidablement travaillé à ce que je vois ! Pour le coup, j'ai vu peu de romance dans les jeux auxquels je joue, mais c'était passionnant à lire 😃

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    1. Un sujet travaillé en effet : 11 jeux joués et terminés pour cet article... Ma principale inspiration est basée sur le masochisme. Content en tout cas l'article a été apprécié, en espérant te revoir pour la partie 2

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Les textes et photographies sont la propriété intellectuelle d'A.S., connue ici sous le pseudonyme de Maxxie.

Le portrait est un dessin de Lise, merci beaucoup ♥